A priori, le rhum est une boisson célèbre et consommée par un public bien ciblé. Plusieurs raisons du monde s’adonnent à la production de rhum et offre de multiples variétés. En général, sa production est à base de canne à sucre et vous pouvez rencontrer le rhum blanc, vieux et ambré.
Avant de vous lancer dans une consommation de rhum, il est jugé crucial de prendre en compte certains critères afin de bien choisir. Le rhum blanc est considéré comme le plus jeune. Il se boit à sec ou en cocktail en fonction de vos envies. Par ailleurs, le rhum ambré est âgé d’un an tandis que le vieux rhum est âgé de plus de 3 ans. Le rhum ambré est considéré comme un rhum de dégustation. Ce dernier dispose d’un goût subtil composé d’un fût de chêne. Force est de constater qu’en vieillissant, les saveurs (caramels, vanilles) ont tendance à se faire ressentir. Le rhum vieux est appréhendé sous le même titre que du whisky. Il est connu pour se reposer sur une longue durée dans des foudres de chênes.
Chaque rhum consommé offrira un résultat différent. Le rhum blanc vous permettra la fabrication d’un rhum arrangé. Il est particulièrement léger et utilisé principalement par les arrangeurs. Si vous optez pour un rhum ambré pour votre rhum arrangé, vous obtiendrez un résultat moins alcoolisé. Ce dernier peut s’adapter à un grand nombre de cocktails. Le rhum vieux est assez complexe. Il dispose d’une particularité liée à sa composition réalisée lentement. Il s’agit d’un rhum de dégustation concentré en arôme. De toute évidence, avant de vous lancer dans un achat, il est préférable de se renseigner par rapport aux recettes adéquates pour chaque type de rhum.
Le rhum blanc est le plus jeune. Il est le plus souvent issu d’un rhum agricole réalisé à base d’un jus de canne. Ce type de rhum est en général fruité et dispose d’une assez grande finesse en matière d’arôme. Vous pouvez rencontrer un grand nombre de rhums traditionnels pour le rhum blanc. D’autre part, le rhum ambré est un rhum blanc laissé au repos pendant 24 mois. Ce dernier peut se composer de cocktail parfumé et coloré à la fois. Le rhum vieux vieillit 2 à 3 fois plus vite qu’un simple whisky ou cognac. Ce dernier est particulièrement filtré en vue de réduire le degré de consommation.
Vous êtes amateurs du rhum ? Le rhum est une eau-de-vie à base de canne à sucre. En réalité, il existe deux types de rhum. Il y a le rhum traditionnel ou industriel et le rhum agricole. C’est la fabrication qui fait différencier les deux. Cet article vous permet d’en savoir plus concernant ce sujet.
L’histoire de l’essor de la canne à sucre a commencé en Europe. Avant, les Européens ont utilisé du miel pour sucrer les aliments. Pourtant, en 1654 il y avait de 900 planteurs hollandais qui arrive en Guadeloupe et ils créent l’industrie sucrière dans le système économique de France. Cependant, après la découverte de betterave, ils ont été conscients de l’écroulement du sucre. C’est à ce moment qu’ils ont décidé de trouver un autre marché. Et c’est la naissance de l’industrie du rhum. Concernant le rhum agricole, les Antillais souhaitaient exploiter une autre manière de la canne à sucre en laisse tomber la mélasse dans le rhum. C’est le commencement du rhum agricole ou bien rhum z’habitant. Cependant, c’est la Réunion qui a utilisé son savoir-faire pour améliorer la matière.
Parlant d’abord du rhum traditionnel : ce type est fait directement à base du jus de canne qu’on vient de broyer. Ce dernier doit être chauffé jusqu’à l’obtention de cristaux et du sucre. Après, l’eau chargée de mélasse s’évapore et sera distillée. C’est là que le rhum traditionnel de sucrerie se produit. En ce qui concerne la fabrication du rhum agricole : il est obtenu à l’aide de la distillation de jus de canne pur et frais appelé aussi vesou. Pour ce type, il faut que le vesou soit fermenté pendant 2jours avant de le distiller. Cette méthode donne des qualités aromatiques et de la fraîcheur au rhum agricole. C’est sûr que vous allez sentir cela lorsque vous l’approchez de votre nez.
Que ce soit pour le rhum traditionnel ou rhum agricole, c’est la durée de la fermentation, les types des fûts, la distillation ainsi que le vieillissement qui favorisent ses qualités. Concernant le vieillissement, cette étape n’est pas obligatoire, pourtant il donne au rhum ses riches arômes. Donc, ce n’est pas bon de déguster tout de suite le rhum après sa fabrication. En général, il doit être séjourné dans des fûts au moins trois ans. Ce temps de fût peut atteindre jusqu’à 6 ans, mais tout dépend du fabricant. Souvenez-vous que ce délai qui donne de la couleur boisée et du goût du tanin au rhum.
Le whisky tourbé se distingue par l’utilisation de tourbe dans sa fabrication. La tourbe est une matière organique fossile essentiellement de végétaux. Un combustible permettant d’obtenir un whisky avec un parfum si particulier. Voici des explications sur le whisky tourbé.
Le whisky tourbé est obtenu en utilisant le combustible appelé tourbe pour sécher l’orge maltée. La tourbe est brûlée au court des dix premières heures de séchage de l’orge. Cela permet de libérer les phénols. Il s’agit de molécules aromatiques apportant un parfum bien particulier au malt. Les arômes seront plus présents sur le malt en fonction du temps d’exposition du malt et de la quantité de tourbe utilisée. Pour obtenir du whisky tourbé parfait, il faut maintenir une température en dessous de 50° C. L’utilisation de la tourbe est une technique née en Écosse. En réalité, la tourbe a été choisie en raison de son prix très abordable. Aujourd’hui, de nombreux pays produisent du whisky tourbé.
Il existe des whisky tourbé et non tourbé sur le marché. Lorsque la tourbe est exposée longtemps à la fumée, cela apporte des goûts de caoutchouc brûlé au whisky. Certaines personnes n’apprécient pas. En effet, la différence entre un whisky tourbé et un whisky non tourbé est flagrante en bouche. Le premier a un goût hyper prononcé. Il ne donne pas accès à une large palette de parfum. Les whiskies très tourbés ne sont pas agréables en bouche. Ils laissent un arrière-goût d’eucalyptus. Le whisky légèrement tourbé propose une variété de saveurs. La tourbe ne gâche pas le whisky. Mais, il faut savoir l’apprécier parce qu’elle complète délicatement l’arôme du whisky.
La tourbe permet d’obtenir de bon whisky. Il peut libérer divers arômes délicieux. Mais avant de consommer du whisky tourbé, goûtez d’abord du non tourbé. Pour ce faire, mettez une goutte au creux de votre main pour le découvrir. Le whisky tourbé a la particularité de laisser dans la bouche son arôme fumé. Si vous avez l’intention de déguster du whisky non tourbé, goûter en dernier le whisky tourbé. Cela évite d’altérer le goût. Le whisky tourbé peut libérer plusieurs parfums en dehors de la saveur de caoutchouc. Prenez bien le temps de goûter le whisky tourbé qui attire votre attention pour saisir tous les arômes. Les parfums les plus courants sont la cendre, le clou de girofle, la réglisse ou encore le camphre.
Si le whisky écossais n’est plus à présenter, le whisky japonais reste encore un mystère pour de nombreuses personnes. Toutefois, les connaisseurs se sont accoutumés, et apprécient tout particulièrement les différentes qualités de ce whisky venu directement du Japon. À côté des whiskies japonais et écossais, il ne faut pas oublier le bourbon esprit américain, une autre grande famille de whiskies.
Le whisky écossais est conçu pour garder le même goût quel que soit l’âge qu’il a. En effet, les distillateurs écossais se penchent surtout sur le côté consistant du produit. En revanche, les distillateurs japonais préfèrent perfectionner et affiner leur production de whiskies pour obtenir un goût très délicat. De cette manière, le whisky japonais est plus soutenu, renferme plus de charme et demande énormément de précision sur les détails. Il est intéressant de connaître que ce produit a remporté de nombreux prix au fil des années. En 2001, le whisky Yoichi de Nikka a été élu Best of the Best pendant une dégustation internationale par Whisky Magazine. En 2003, la Suntory Hibiki 30 ans d’âge a remporté haut la main la première place à l’International Spirits Challenge. Et ainsi de suite.
Il faut savoir que les producteurs japonais ne se basent pas sur une seule recette pour la confection de leur whisky japonais. Ils prennent le temps d’étudier et analyser leur mode de fabrication afin de rendre encore meilleure la distillation, l’étape de fermentation et la maturation. Lorsqu’une modification de la saveur du whisky se fait sentir, notamment en un goût supérieur, le fabricant ajustera au fur et à mesure ses moyens de production. Pour s’exprimer autrement, le whisky que vous dégusterez à l’instant n’aura pas la même saveur d’ici quelque temps. Les saveurs évoluent pour offrir quelque chose d’encore plus exquise. Comme un distillateur japonais de Yamazaki le disait si bien : « Si le whisky que vous goûtez aujourd’hui conserve le même goût d’ici une dizaine d’années, le distillateur a loupé sa mission ».
Pour ceux qui ne le savent pas, le bois joue un rôle crucial sur la saveur d’un whisky japonais. Le distillat issu d’un alambic sera transféré dans plusieurs fûts. Plus les années passent, plus l’alcool s’intègre pour interférer avec le bois. Les différentes sapidités peuvent être tirées de diverses épices, de la vanille, du caramel ou encore des fruits aux saveurs délicieuses. Il sera ensuite conservé dans des fûts de cherry recyclés, des fûts de chêne américain et un bois japonais exceptionnel nommé « mizunara ». En comparaison avec les bourbons américains qui adoptent un goût légèrement sucré, les whiskies japonais sont plutôt secs, aromatiques et sont mis en avant sous l’apparence de single malts ou blend. Le bourbon esprit américain offre un profil gustatif différent, souvent plus riche et plus puissant.
Dans un pays comme la France, le vin fait partie intégrante de la culture. En effet, le vin s’invite à toutes les tables. Il est donc normal que la majorité de la population s’y intéresse. De plus, le vin français s’exporte dans toutes les régions du monde. Mais au-delà des pays les plus reconnus pour leurs productions de vins, comme l’Espagne, l’Italie ou la France, il existe d’autres pays qui produisent et proposent des vins de qualité. Ces pays, moins connus pour leur production de vins, tentent de se faire leur place dans le marché international. Quelles sont ces régions émergentes dans la production de vin ?
En parlant des vins étrangers, il est difficile de passer à côté des pays d’Amérique du Sud. On oublie souvent que les régions du Nouveau Monde possèdent une culture viticole depuis des siècles. En effet, les colons espagnols ont apporté leurs connaissances en matière de viticulture. Leurs connaissances sont restées malgré leur départ. Les anciennes colonies espagnoles telles que le Chili pays viticole, l’Argentine ou le Mexique, produisent donc un vin dont la qualité n’est pas négligeable. Le climat y est propice pour la production de vins d’exception, comme le Cabernet franc, le sauvignon ou le Pinot blanc. L’Argentine, l’Uruguay et le Mexique ne sont pas en reste, qu’il s’agisse de vins rouges ou de vins blancs. Un des avantages des vins sud-américains, en plus de leurs caractères, est leur prix abordable.
Les pays d’Asie, surtout la Chine, font partie des plus grands importateurs de vins français. Mais en plus de l’importation, la Chine a aussi développé son savoir-faire en matière de viticulture. Plusieurs vignobles sont présents dans le pays, surtout dans le nord, car le climat y est plus propice. La Chine produit en majorité du vin rouge. On peut par exemple parler du Ao Yun composé de 90 % de cabernet sauvignon, c’est un des vins chinois les plus populaires. Il y a aussi le A Shangri-la, le meilleur vin rouge chinois. L’avantage de la Chine est que son territoire est vaste, les vignobles sont situés dans des lieux favorables à la production de bonnes grappes. Le potentiel de la Chine parait sans limites, elle dispose encore de beaucoup de marge de progression en matière de production.
L’Océanie produit aussi du vin. On peut par exemple parler de la Nouvelle-Zélande qui produit un excellent vin. Le marché du vin ne cesse de se développer dans le pays avec des domaines comme le Dry River ou le Ata Rangi. Les possibilités sont donc quasiment illimitées, il est juste important d’ouvrir ses horizons et se laisser surprendre par les vins étrangers.
Le choix d’un vin ne doit pas se faire hâtivement mais de façon réfléchie. Vous devez ainsi tenir compte de la différenciation d’un vin bio, biodynamique et naturel. Le respect des cycles de végétation de la vigne ne doit pas être ignoré. Ce dernier peut constituer une grande différenciation entre les vins.
Avant de vous lancer dans une prise de décision définitive, vous devez tenir compte de l’évolution du marché à travers la différenciation des vins proposés. Le vin bio est considéré comme étant le plus connu. Il s’agit d’un vin obtenu à partir d’une agriculture biologique. Le vin biodynamique est issu d’une agriculture mettant en valeur la vinification du vin proprement dit. L’objectif de ce type de culture est de préserver l’équilibre entre la vigne et le sol. La biodynamie est considérée comme une nouvelle conception de l’agriculture classique biologique. Le vin naturel n’est pas encore officialisé et labélisé. Ce type de culture met en évidence les vendanges à la main à travers une culture biologique.
Le vin biologique est issu des raisins biologiques. Il s’agit d’une composition certifiée depuis plusieurs années. Pour se faire, les vignerons devront s’engager dans le respect environnemental en n’utilisant pas d’engrais chimique ou de pesticide. Tous les traitements doivent être issus d’un programme naturel respectant des critères typiquement biologiques. Le vin biodynamique est par ailleurs labélisé et connu sous le nom de biodyvin. Le traitement de la vigne dépend des cycles du jour et de la nuit. Les vignerons ont tendances à utiliser des compositions naturelles pour alimenter la vigne : silice et compost. Le vin naturel est toutefois issu d’une viticulture biologique mettant en avant l’utilisation de certaines levures aromatiques provenant du raisin.
La vinification est considérée comme un critère important pour pouvoir déterminer la catégorie du vin. La fertilisation est un élément crucial pour déterminer la qualité du vin en question. Le vin bio respecte une règlementation européenne visant à appréhender l’absence des traitements chimiques lors des étapes de fabrication du vin. Le vin biodynamique respecte 2 certificateurs pour être éligible. Les vignerons doivent respecter le cahier de charge à travers l’amélioration de la biodiversité du vignoble en question. Le vin naturel est connu comme étant un procédé jouant un rôle dans le respect de caractère naturel.
La bière a été longtemps considère comme une boisson à boire entre amis durant une chaude journée d’été ou en apéritif pendant un dîner au bistrot ou dans les restaurants branchés. L’association mets et bière n’a été proposée que très récemment. Depuis, elles s’invitent aux tables et deviennent de plus en plus raffinées. Les zithologues ont trouvés tris façons d’accorder mets et bière. Entre le contraste, la complémentarité ou encore la résonance.
Il existe une grande variété de bière, entre la fermentation haute ou IPA, la fermentation basse, la fermentation spontanée, les blondes, les blondes spéciales, les ambrées, les brunes, et les blanches. Elles ont toutes un goût bien particulier et se définissent par leurs senteurs et les teintes qu’elles apportent. Les contrastes s’appliquent, pour contrebalancer les saveurs qui se contrastent pour un accord met bière. Par exemple, le Mandrin qui est une bière ambrée Ale aux notes de fruits secs qui se marie bien avec un dessert très sucré comme celles avec une meringue, du chocolat blanc ou encore du caramel.
Les bières se caractérisent également par le plat qu’ils accompagnent. Entre une entrée, un plat ou un dessert. Elle peut même être cuisinée pour apporter un gout subtil à l’accord mets bière. Comme pour la choucroute par exemple, ou encore les gaufres, ou les crêpes. La complémentarité, comme son nom l’indique, a pour but de compléter la saveur de la bière avec le mets qui l’accompagne. Pour une entrée par exemple, on peut très bien associer une salade de crudité avec une vinaigrette peu épicé, accompagnée de fromage frais type mozzarella et une bière Witbier végétale aux senteurs boisées, avec un nez d’agrume comme entrée. Ou pourquoi pas une bière blonde dorée aux senteurs d’agrumes associée à du poisson frais en plats.
Les bières sont surtout appréciés, pour la fraîcheur qu’elles apportent. Elles peuvent être sucrées, acides, ou amer, avec des touches fruitées ou boisées. C’est à partir de ses touches particulières, qu’il est possible de composer un accord mets bière. Une association de résonance par exemple, associe deux saveurs proches afin de les renforcées. La Véliocasse, une bière ambré au miel donnera une résonance à votre plat, car elle garde une longueur en bouche. Le Bourgogne des Flandres, une brune riche avec de belles rondeurs s’associera parfaitement avec vos préparations sucré-salé et vos viandes, comme le gibier par exemple. Le Rouget de Lisle, sucrée avec son arôme de griottines, sera parfait avec un dessert pas trop sucré comme une mousse de fruits ou un sorbet.
Boisson composée principalement d’eau, de la levure, du houblon, et du malte, la bière est parmi les boissons choisies pour son effet rafraîchissant, mais aussi pour son goût. Avec les différents types de bières existantes, les non-connaisseurs ne savent plus que boire, entre blanche et brune, entre les bières artisanales et les bières des commerces.
Avec les différentes couleurs existantes, ceux qui veulent débuter ne savent pas comment choisir une bière.
La bière blanche est fabriqué avec du malte très pâle, et la plupart du temps, les brasseurs utilisent du blé. Pour la bière blonde, le malte est monté en température. Et pour la brune, le malte est vraiment torréfié. Ces modes d’utilisation de malte ont des conséquences sur l’arôme de la bière, les blanches ont un goût plus fruité, tandis que les brunes ont un goût un peu cacaoté ou caféiné.
En ce qui concerne le goût amer, c’est la quantité de houblon qui conditionne cela. Et pour le taux d’alcool, c’est la quantité de la malte qui le définit.
Les bières des brasseries artisanales sont plus diversifiées, en terme de goût. En effet, chaque brasserie essaie de se différencier par rapport à la concurrence, en ajoutant des ingrédients spéciaux. Pour ceux qui veulent donc des bières spéciales , qui ont des goûts plus marquants, mieux vaut se tourner tout de suite vers des brasseries artisanales.
En ce qui concerne les bières industrielles, ils ont surtout un effet désaltérant et rafraîchissant. Quoi qu’il en soit avant de choisir une bière dans les commerces, il faut bien tenir compte de la mise en bouteille. Il faut savoir que pour pouvoir bien conditionner une bière, il faut une bouteille de couleur plus foncée comme le marron, afin d’éviter l’oxydation de celle-ci.
La bière est, depuis longtemps, l’un des ingrédients secrets pour réussir certaines recettes. Dans le monde de la pâtisserie, beaucoup l’utilisent pour avoir une pâte moelleuse, comme dans les pâtes à beignet, pâtes à crêpe, ou bien les pâtes brisées.
En cuisine, la recette la plus populaire est le poulet à la bière, qui consiste à griller ou à enfourner un poulet en le marinant avec de la bière pour l’aromatiser.
A part cela, la bière est un attendrisseur naturel pour les viandes. Pour relever le goût des aliments, il est intéressant aussi d’utiliser de la bière blanche, pour les marinades de la blonde, et pour les sauces de la brune.
Enfin, la bière dans les plats favorise la digestion, car sa levure favorise la flore intestinale.